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Photographie | Instruments à percussion | Tambours (famille d'instruments) | Tambour (membranophones) | Musique | Instruments de musique | Instruments de musique -- Inde | Tambour | Gravure | Joueurs de tambour | Instruments de musique -- Brésil | Peinture | Agneaux | Tam-tam (tambour) | Animaux prédateurs -- Lutte contre | Relations entre frères | Contes indiens (de l'Inde) | animaux prédateurs | Brebis | Terres cuites | ...
Le sar tambour. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c0c734-le-sar-tambour

Le sar tambour

Ce sar se caractérise par des lèvres plus grosses que pour les autres espèces. Il est de plus parcouru de 5 bandes verticales sombres.

Alfaia brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a620-alfaia

Alfaia brésilien

Alfaia décoré aux couleurs du Brésil et du Pernambouc. L'alfaia est une sorte de grosse caisse à peau animale assez fine, portée à l'épaule par une corde et jouée à l'aide de deux battes en bois. Il est utilisé dans le maracatu, genre musical d'influence africaine du Pernambouc, dans le Nordeste brésilien. Son fût est en bois. Chaque peau (une de frappe, une de résonance) est pincée entre le fût et un cerclage de bois. La tension des deux peaux est obtenue par le serrage d'un cordage reliant les deux cerclages.

Costumes allemands du début du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5308a291-costumes-allemands-du-debut-du-seizieme-siecle

Costumes allemands du début du seizième siècle

Planch 63, Costumes allemands du début du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-2, 5, chevaliers ; 3-4, 6-8, aristocrates et courtisans ; 9, 12-13, soldats ; 10, porte-étendard ; 11, batteur.

Damaru tibétain. Source : http://data.abuledu.org/URI/532323ea-damaru-

Damaru tibétain

Le damaru et le dugdugi (Bengale) sont des petits tambours indiens à deux peaux en forme de sablier. Au Népal il se nomme aussi kal dab dab ou kantan dab dab et au Tibet, il se nomme thöd rnga. De taille modeste (15 cm de hauteur et 8 cm de diamètre) habituellement, il en existe de plus grands (60 cm de hauteur et 40 cm de diamètre) tenus à deux mains, utilisés dans les temples. Les peaux sont tendues par un système de cordelettes allant de l'une à l'autre. Fixée au bout d'une ficelle placée au centre de l'instrument, une grosse graine frappe alternativement chacune des peaux de chèvre lorsqu'on la secoue de droite à gauche.

Danse des hommes dans les iles Sandwich en 1816. Source : http://data.abuledu.org/URI/5385b58e-danse-des-hommes-dans-les-iles-sandwich-en-1816

Danse des hommes dans les iles Sandwich en 1816

Danse des hommes dans les iles Sandwich. Lith.e par Franquelin d'après Choris. Lith. de Langlume i de l'Abbaye, Paris, 1822. Trois danseurs d'Hawaii avec boucliers, jupes et anneaux de cheville, entourés de spectateurs et de joueurs de tambours.

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Imprimante laser. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c85d70-imprimante-laser

Imprimante laser

Croquis de l'intérieur d'une imprimante laser. Une imprimante laser est un type d’imprimante permettant la reproduction haute qualité de textes et de graphiques sur support papier ou optique. Les imprimantes laser utilisent un procédé d’impression xérographique (ou électrophotographique), mais se distinguent des photocopieurs par le fait que l’image est produite par le balayage direct d’un faisceau laser à travers le tambour interne (drum) de l’imprimante.

Khol bengali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396581-khol

Khol bengali

C'est une version originale de l'est de l’Inde. Il est long comme un mridangam, mais ses faces sont disproportionnées : l'une à droite, est minuscule (7 cm) et l'autre à gauche, est énorme (30 cm). L'instrument est en terre cuite, et donc très fragile, mais très léger, et très sonore. Si on retrouve la pastille noire à droite, elle n'émet en revanche aucun "buzz" et ne subit pas les frappes claquées si caractéristiques. En revanche, on n'applique aucune pâte à gauche. En effet, il s'y trouve une pastille noire (ou brune) permanente, mais elle peut être aussi placée à l'intérieur de la peau ! De ce fait s'offre une nouvelle possibilité de jeu, similaire à celle du baya (tambour basse) du tablâ : on peut utiliser des glissandos du poignet sur la peau et en variant la pression, obtenir un son plus ou moins long du genre "woop". Le nombre de lanières reliant les deux peaux est beaucoup plus important, afin de protéger la caisse de résonance. On n'accorde pas cet instrument à l'aide d'une action mécanique (coup), mais à l'aide d'une réaction physique : on chauffe l'instrument pour monter l'accord. Le khol accompagne les bhajans et les kirtans, les chants religieux dérivés du dhrupad. Il se joue souvent debout et son apprentissage est plus empirique que scientifique. Il est aussi utilisé par les musiciens errants, les bauls. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mridang#Le_khol_bengali

L'agnelet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50977c1f-l-agnelet

L'agnelet

Illustration par J. D. Batten du conte indien "L'agnelet" (The Lambikin), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : après avoir bien mangé chez sa grand-mère, l'agnelet se fait faire un tambour bien rembourré dans lequel il va se cacher pour essayer d'échapper aux prédateurs qui le guettent.

Les tambours du Bronx. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5aa1-les-tambours-du-bronx

Les tambours du Bronx

Bidons utilisés comme instruments de musique à percussion (idiophones) par le groupe des Tambours du Bronx, groupe de percussions urbaines français formé en 1987. Leurs concerts ont pris une identité, créant leur musique en frappant violemment sur des bidons, en suivant une scénographie précise. Leur musique est un mélange énergique d'indus, afrobeat, rock, techno et world music. Ils sont dix-huit musiciens sur scène, utilisant sons synthétiques et samples au service d'une rythmique très puissante. Ce subtil mélange en a fait une des références internationales en percussions expérimentales et en musique industrielle.

Maddalam kéralais indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514598-maddalam

Maddalam kéralais indien

Le maddalam, mattalam ou madale est un instrument de percussion du sud de l'Inde. C'est un tambour en tonneau à deux faces. Il est utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs. Le lourd fût long de 60 cm est taillé dans du bois de jacquier. Les épaisses membranes en peau de veau sont maintenues au moyen d'un laçage de cuir de buffle. Une pastille noire similaire à celle du mridangam recouvre une face du maddalam afin d'obtenir des harmoniques. Une pâte blanche amovible de farine ou semoule est collée contre l'autre face afin d'accorder la face basse. On en joue debout, l'instrument étant suspendu horizontalement à une bandoulière autour des épaules ; il est recouvert d'un tissu miroitant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maddalam

Musiciens de l'infanterie japonaise en 1843. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbebc9-musiciens-de-l-infanterie-japonaise-en-1843

Musiciens de l'infanterie japonaise en 1843

Infanterie japonaise par Auguste Wahlen, "Moeurs, usages et costumes de tous les peuples du monde", Volume 1. La Librairie historique-artistique, 1843.

Surdo brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330510f-surdo

Surdo brésilien

Le surdo est un instrument de percussion membranophone, qui est utilisé dans la samba. De forme cylindrique avec du fer, il est façonné dans un fût de bois ou de métal de 50 à 70 cm de haut et de 16 à 26 pouces (40 à 65 cm) de diamètre. C'est le plus volumineux des instruments de la formation rythmique. La plupart des surdos modernes sont désormais réalisés en métal, principalement en acier mais aussi en alliage d'aluminium. Certains fabricants proposent cependant des surdos dans d'autres matières, comme par exemple en Plexiglas, pour obtenir des effets de transparence sur le fût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surdo

Tabla indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396120-tabla

Tabla indien

Le tabla est un instrument de musique à percussion indien certainement dérivé des nagaras ou des « tablas » arabes. La légende en attribue l'invention à Amir Khusrau, fondateur de la Delhi gharana, au XIVe siècle. On dit aussi qu'il serait né de la colère d'un musicien qui aurait jeté son mridangam par terre et l'aurait brisé en deux : l'instrument fonctionnait toujours et donna naissance au tabla. On en joue assis par terre, les instruments reposant sur des petits coussins afin de les orienter proprement. Avec le mridang, c'est le membranophone le plus complexe qui soit. Le tabla est composé de deux fûts, un petit tambour mâle, le dayan ou dahina (droite), et une timbale femelle, le bayan ou baya (gauche), accordée généralement à la quinte grave (en fonction de la tonalité et du raga, ce peut être à la quarte ou à l'octave). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabla

Tambour de la Garde impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/501b0246-tambour-de-la-garde-imperiale

Tambour de la Garde impériale

Tambour de la Garde impériale (1803) par Maurice Orange (1867–1916). Musée du Vieux Granville, Maurice Orange (1867-1916), mémoire de l'Empire et images d'Orient, exhibition catalogue, 1999